Le surpoids, de lourdes conséquences mais pas une fatalité

Le surpoids, de lourdes conséquences mais pas une fatalité

Dans les pays industrialisés tels que la France, le surpoids et l’obésité sont considérés par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) comme une véritable « épidémie ». Ce fléau affecte 35% des adultes dans le monde.

L’Indice de Masse Corporelle (IMC) est le critère de référence permettant de caractériser simplement l’état d’une personne selon son poids et sa taille (poids/taille2) : entre 18,5 et 25=normal, de 25 à 30 = surpoids et au-delà de 30, la personne est considérée en obésité. 

Les raisons de cette prise de poids sont nombreuses et complexes, à commencer par la consommation d’une alimentation trop riche et la pratique d’un exercice physique trop limité. Lors de ce déséquilibre calorique, les cellules graisseuses vont stocker des réserves. Cette suralimentation est responsable de nombreuses perturbations comme l’inflammation. Celle-ci entraîne notamment une mauvaise communication cellulaire et un déséquilibre hormonal. La leptine (une petite hormone cérébrale qui contrôle la prise alimentaire) ou encore l’insuline perdent leurs efficacités avec la prise de poids. De plus, les chercheurs ont récemment mis en évidence que la composition de la flore intestinale jouerait un rôle dans l’obésité. En effet, la composition de ce microbiote est différente entre une personne ayant un IMC dit normal et une personne en obésité. Certaines flores ont tendances à épargner ou faciliter la dépense énergétique influençant ainsi le poids. D’autre part, chez les personnes en surpoids, des troubles hormonaux sont régulièrement observés. Des études scientifiques ont mis en évidence qu’une obésité modérée chez la femme était fréquemment associée au syndrome des ovaires polykystiques. Ce trouble se traduit notamment par une réduction de la fertilité. En général, une perte de poids corrige ce trouble.

Le surpoids et l’obésité conduisent, à terme, à de lourdes conséquences et réduisent l’espérance de vie :

  • Des troubles métaboliques comme l’apparition d’un diabète de type 2 (appelé insulino-résistance). L’OMS prévoit une augmentation de plus de 50% du nombre de décès liés au diabète dans le monde au cours des 10 prochaines années ;
  • Des conséquences cardiovasculaires (cholestérol, hypertension artérielle…)
  • Des troubles musculo-squelettiques en particulier l’arthrose ;
  • Certains cancers.

La prévention est la meilleure des armes, voici quelques conseils hygiéno-diététiques :

  • Manger au moins 5 fruits et légumes par jour ;
  • Eviter les aliments trop gras, trop sucrés, trop salés ;
  • Pratiquer une activité physique régulière ;
  • Prendre son temps pour le repas, la sensation de satiété apparait seulement au bout de 20 minutes.

D’autres part, la consommation de certains micronutriments peut vous accompagner au quotidien :

  • Les oméga 3 rompent le cercle vicieux « inflammation-insulino-résistance-prise de poids », ceux-ci augmentent la sensibilité à l’insuline et à la leptine.  Les oméga 3 sont notamment présents dans l’huile de Lin ou encore les poissons gras.
  • Le Thé vert, et particulièrement l’épigallocathéchine gallate (EGCG) qu’il contient, jouent un rôle dans le contrôle du poids.  La consommation de Thé vert peut agir sur la répartition des graisses, favoriser leur fonte, participer à la régulation du poids et agir sur l’insulino-résistance chez les personnes en surpoids.
  • La Cannelle et le Chrome favorisent la sensibilité à l’insuline chez les personnes diabétiques.
  • La caféine favorise de déstockage des graisses et limite le stockage en cas de prise calorique trop importante.
  • Les ferments lactiques, un apport de souches bactériennes spécifiques de la flore intestinale peuvent favoriser le rééquilibrage du microbiote.
  • Le Fucus vésiculeux est une algue brune riche en Iode qui stimule la production d’hormones thyroïdiennes. Cette plante a la capacité d’accélérer le métabolisme, donc de favoriser la fonte des graisses.

DES NUTRIMENTS D’INTERETS POUR UN HIVER AU TOP DE SA FORME :

DES NUTRIMENTS D’INTERETS POUR UN HIVER AU TOP DE SA FORME :

Notre système immunitaire, aussi perfectionné qu’efficace, nous protège à chaque instant des agressions responsables de pathologies et notamment des infections. La baisse des températures, l’absence d’ensoleillement, le changement d’heure, le stress, une alimentation moins riche en fruits et légumes sont autant de facteurs qui nous fragilisent à l’approche de l’hiver.

D’autres facteurs liés à nos modes de vie et consommation nous rendent vulnérables comme la sédentarité et la consommation d’aliments raffinés. Ces aliments transformés par l’industrie, que nous consommons régulièrement souvent par manque de temps (déjeuner sur le pouce, diner tardif après une longue journée de travail…) sont bien souvent des « calories vides ». Ces aliments comme les sodas, les bonbons, les plats préparés ont une qualité nutritive médiocre, ils sont riches en acides gras saturés, bourrés de sucres, trop salés et n’apportent que peu de vitamines, minéraux, oligo-éléments ou encore protéines nécessaires au bon fonctionnement de notre corps.

De plus, certains de nos comportements comme le tabagisme, la consommation d’alcool, un état de stress prolongé entraînent un risque de carence en certains nutriments. Des vitamines du groupe B sont utilisées par le foie pour assimiler l’alcool. De même, fumer ne serait-ce qu’une seule cigarette prive notre corps de 25 mg de vitamine C (soit l’équivalent d’une orange). A noter que vitamines, minéraux et oligo-éléments interagissent entre eux dans de nombreux processus physiologiques. Par exemple, la vitamine C est nécessaire à l’absorption du Fer d’où son rôle majeur dans la prévention de l’anémie.

Du nourrisson à la personne âgée, près de 80% de la population occidentale est considérée comme carencée en vitamine D. Elle est apportée par la consommation de poissons gras comme le saumon, le hareng ou la sardine. Mais cette vitamine liposoluble est très majoritairement (80-90%) synthétisée sous l’action des UV solaires. Or, au cours de la saison hivernale, la durée d’ensoleillement moyenne est considérablement réduite.

Les scientifiques ont mis en évidence le lien entre une carence en certains nutriments comme les vitamines, minéraux et oligo-éléments et l’altération de la production d’anticorps, acteurs majeurs de l’immunité.

L’apport de certains nutriments spécifiques permettent de redynamiser le système immunitaire :

Les ferments lactiques, ces bactéries permettent d’éliminer les bactéries et virus pathogènes, soit en les phagocytant, soit en empêchant leur adhésion à la surface des muqueuses.

L’Echinacée augmente la production d’anticorps, réduit l’inflammation et favorise la migration des globules blancs vers les sites de l’infection. Particulièrement efficace en prévention des agressions de l’hiver en diminuant la fréquence et l’intensité des symptômes.

La Spiruline est très riche en protéines, en vitamines, minéraux dont le Fer et en acides gras essentiels. Cette algue bleue contient 3 pigments dont la phycocyanine et la chlorophylle. La Spiruline de part sa composition combat la fatigue, stimule le système immunitaire et comble les carences nutritionnelles.

Le Zinc renforce l’immunité en exerçant un effet barrière, de contrôle et de protection contre les pathogènes.

La vitamine C est à la fois antioxydante, anti-infectieuse et anti-fatigue d’où son intérêt pour renforcer le système immunitaire, prévenir les infections, combattre la fatigue physique et intellectuelle.

La vitamine D augmente l’activité de certaines cellules de notre système immunitaire, elle est particulièrement efficace contre les infections respiratoires et les maux de l’hiver.

Qu’est ce que l’inflammation chronique dite de bas grade ? Comment s’en sortir ?

Qu’est ce que l’inflammation chronique dite de bas grade ? Comment s’en sortir ?

L’inflammation de bas grade, ou inflammation systémique, passe le plus souvent inaperçue car elle est silencieuse et sournoise…

Contrairement à l’inflammation « classique » caractérisée par des symptômes tels que douleur, rougeur, œdème, altération de l’état général, fièvre, elle ne présente pas de signes cliniques et est à peine détectée dans les analyses sanguines.
Elle est une réponse des cellules de notre organisme à toute forme d’agression des agents toxiques de l’environnement.
Les agents extérieurs à l’organisme (bactéries, virus, parasites, particules, rayonnements, substances chimiques) sont capables de provoquer une inflammation des tissus par libération de toxines ou par effet toxique.
Cette inflammation est de plus en plus reconnue comme un marqueur de risque de nombreuses maladies chroniques telles que maladies cardiovasculaires, diabète, cancer, maladies neuro-dégénératives, obésité, dépression …
Or, de récentes études révèlent que le déséquilibre du microbiote intestinal et l’augmentation de la perméabilité intestinale favorisent l’inflammation de bas grade, d’où l’importance d’une alimentation saine et équilibrée.
Heureusement, nous pouvons gérer et contrôler cette inflammation chronique en agissant sur notre alimentation (éviter les excès de sucres, de graisses saturées, les carences en nutriments), notre mode de vie (sédentarité, tabagisme, pollution, produits toxiques …) et en faisant appel à certains compléments nutritionnels spécifiques tels que :

Le curcuma liposomé
Ce produit bénéficie d’une technologie d’encapsulation qui protège le curcuma des attaques acides de l’estomac. Le liposome est constitué des mêmes phospholipides que les membranes cellulaires, garantissant une absorption et une biodisponibilité du curcuma 8 fois supérieure à la forme sèche.
L’action antioxydante, anti-inflammatoire, protectrice du système gastro-intestinal et immunitaire de la curcumine, principe actif du curcuma, est donc fortement potentialisée.
Les acides gras oméga 3
Ils exercent des effets anti-inflammatoires naturels en permettant l’arrêt du processus inflammatoire et la résolution des inflammations aigües ou chroniques.
La feuille et l’écorce de frêne, les extraits de feuilles de cassis, d’écorce de saule, d’écorce de griffe du chat possèdent des propriétés anti-inflammatoires puissantes.
Les extraits de rhizome de réglisse, de graines de marron d’Inde, l’huile essentielle de pin activent les glandes surrénales et stimulent la production de corticoïdes aux propriétés anti-inflammatoires, toniques et neurotoniques…

ND

Avoir la « pêche » malgré le changement d’heure et l’arrivée de l’hiver…

Avoir la « pêche » malgré le changement d’heure et l’arrivée de l’hiver…

Tous les ans à la même époque, de nombreuses personnes connaissent le « Blues de l’hiver », une baisse de moral due notamment à un déficit de luminosité. Voici quelques conseils pour sortir au plus vite de cette déprime passagère…

Quelques après le passage à l’heure d’hiver, il n’est pas rare de connaitre cette baisse d’énergie, cette envie de ne rien faire et de ne manger que du chocolat en regardant la tv…

On a l’impression que les mois de novembre et décembre n’en finissent pas. Manque de soleil, fatigue de fin d’année, jours qui raccourcissent, les causes de cette baisse de régime sont nombreuses…Voici quelques astuces pour traverser cette période le plus rapidement et le mieux possible.

Faire du sport

Une marche rapide 30 minutes trois fois par semaine fait du bien au moral et permet de conserver une dynamique corporelle. Oxygénez-vous, laissez vos pensées vagabonder en vous concentrant sur le rythme de vos pas, profitez des couleurs de l’automne et dites vous que finalement, cette saison n’est pas si détestable que ça.

Se coucher avant minuit
Si le sommeil est essentiel pour le corps et l’esprit, l’heure à laquelle nous choisissons d’aller dormir à un impact considérable sur notre humeur du lendemain. On peut inconsciemment reculer l’heure du coucher, car on a l’impression que les journées sont trop courtes et que l’on ne profite pas assez…Mais si vous sentez que votre corps réclame plus d’heures de sommeil en hiver, écoutez le et, vous vous réveillerez de meilleure humeur et avec plus d’entrain.

Contrôler son alimentation
La déprime de l’hiver peut conduire à manger plus car on croit que le corps a besoin plus d’énergie mais en fait, à bien y penser, il n’y a aucune raison de se suralimenter. D’autant que si vous avez déjà tendance naturellement à vous réconforter avec la nourriture, vous risquez de le faire davantage, notamment parce que l’on passe plus de temps chez soi. Attention à ne pas consommer trop de sucreries et de gâteaux donc au risque de se sentir encore plus irritable après (pour cause de culpabilité et de kilos superflus:-))

Pour autant, en cette période parfois difficile, l’idée de manger une bonne blanquette, un cassoulet ou une raclette peut être d’un grand réconfort…Ne vous privez pas mais gérez les quantités de nourriture et puis pensez aussi aux bonnes soupes de légumes ou de poissons que vous pouvez préparer sans risque de prendre trop de poids.

 

Combler ses carences nutritionnelles

Certains compléments alimentaires sont excellents et vous aideront efficacement à vous sentir mieux en plus de palier vos carences nutritionnelles:

Pour le sommeil et l’équilibre nerveux, le 5HTP activera la production de sérotonine et de mélatonine grâce à l’apport de 5HTP, de bergamote et des vitamines B3 et B6. Il en résulte une diminution des symptômes dépressifs et une amélioration du sommeil…en savoir plus

Pour le dynamisme et la vitalité, la Tyrosine est un acide aminé favorisant la synthèse naturelle de dopamine, adrénaline et noradrénaline améliorant ainsi la dépression…en savoir plus

Pour l’équilibre émotionnel, le safran et la Rhodiola permettent de moduler le niveau de sérotonine et d’améliorer l’humeur. Il en résulte une diminution de l’irritabilité, de la nervosité, une amélioration des symptômes dépressifs et des fonctions cognitives…en savoir plus

Recharge de vitamine d naturelle:  La vitamine D3, un des composants majeurs du métabolisme. En période de faible ensoleillement,les rayons ultravioletsB ne suffisent plus àla synthèse d’une quantitéadéquate de vitamine Ddans la peau : c’est pourquoi un apport de vitamine D devient nécessaire…en savoir plus

Booster votre immunité, pour mieux lutter contre les pathologies hivernales récidivantes (refroidissements, rhumes, états grippaux)…en savoir plus

En savoir plus sur les compléments alimentaire naturels…

FF

 

Démarrez la rentrée en pleine forme !

Démarrez la rentrée en pleine forme !

Avec la rentrée, les fraîcheurs automnales sont de retour, les jours diminuent, le changement de saison fragilise l’organisme qui devient plus sensible aux agressions extérieures, le système immunitaire est plus vulnérable.  Alors, pour renforcer les défenses naturelles et éviter les coups de fatigue, en plus d’adopter une alimentation équilibrée, notre corps a besoin de compléments nutritionnels devenus véritablement indispensables.

La vitamine C aux propriétés antioxydantes, anti-infectieuses, anti-asthéniques et antistress, combat la fatigue physique et intellectuelle, améliore la résistance aux infections en activant les réactions immunitaires.
Les vitamines B, en augmentant le métabolisme énergétique, potentialisent l’action de la vitamine C
et renforcent le système immunitaire.
Le Cuivre, puissant antiseptique, combat les états infectieux, inflammatoires et les viroses.
L’Echinacée et l’Eglantier sont des plantes reconnues pour stimuler les défenses immunitaires et
notamment les infections hivernales.
Les bactéries lactiques rééquilibrent et restaurent la flore intestinale responsable de la production
d’anticorps, cellules impliquées dans la protection de nos défenses naturelles.
La gelée royale apporte en grande quantité vitamines, minéraux, oligo-éléments et acides aminés. A la fois fortifiante et stimulante, elle renforce le système immunitaire et lutte contre la fatigue.
La Spiruline et notamment, son principe actif, la phycocyanine , possède des propriétés
immunostimulantes, revitalisantes et énergisantes sur l’ensemble de l’organisme.

ND

 

CANCER : LA PISTE METABOLIQUE

CANCER : LA PISTE METABOLIQUE

Pour pouvoir fonctionner normalement, les cellules produisent de l’énergie en utilisant, comme carburant, du sucre (glucose). A l’aide de l’oxygène, 1 molécule de glucose permet la production de 36 molécules d’ATP (l’ATP, molécule présente dans toutes les cellules vivantes, fournit l’énergie nécessaire aux activités cellulaires).On appelle ce processus respiration cellulaire avec, dans ce cas de figure, un rendement énergétique exceptionnel.

Comment se déroule la respiration cellulaire ?

La réaction commence dans la cellule où le glucose est oxydé en 2 molécules d’acide pyruvique (ou pyruvate, acide essentiel à la production d’énergie) grâce à des enzymes spécifiques : c’est la glycolyse.

Ensuite, le processus respiratoire va se dérouler intégralement dans les mitochondries (sortes de « centrales énergétiques » des cellules). Là, au cours des réactions du cycle de Krebs (cycle biologique qui se déroule au sein de chaque cellule de l’organisme, à l’origine de la production d’énergie cellulaire et indispensable au métabolisme des glucides, protéines et lipides), l’acide pyruvique est totalement dégradé en CO2 et en hydrogène pour une production optimale d’énergie, le CO2 créant un milieu acide dans la cellule. Ce milieu acide est très important car il garantit l’intégrité de la cellule, empêche l’ADN de se diviser et donc une multiplication anarchique des cellules.

Que se passe-t-il en cas de cancer ?

Dans le cas du cancer, il y a dysfonctionnement des mitochondries. Le glucose est transformé en acide pyruvique puis en acide lactique qui est excrété hors de la cellule. Puisque l’acide pyruvique ne pénètre pas dans les mitochondries, il n’y a pas de production de CO2 si bien que l’intérieur de la cellule devient basique et l’extérieur acide. La cellule va alors fermenter et produire uniquement 2 molécules d’ATP, donc un rendement énergétique très faible. Pour compenser la faiblesse de ce rendement, les cellules cancéreuses vont consommer beaucoup plus de glucose, grossir, se diviser et envahir les tissus.

Le traitement métabolique

Il repose sur une synergie de 2 nutriments : l’acide alpha lipoïque et l’hydroxycitrate (HCA) qui ne tuent pas les cellules cancéreuses comme les chimiothérapies mais influent directement sur leur métabolisme, semblant même majorer l’efficacité du traitement conventionnel.

L’ACIDE R ALPHA LIPOIQUE

La forme R, forme naturellement présente dans l’organisme de  l’homme (contrairement à la forme S synthétique), offre une meilleure biodisponibilité. L’acide alpha lipoïque est un cofacteur d’une enzyme qui va favoriser le passage du pyruvate vers la mitochondrie et donc empêcher le processus d’accumulation du pyruvate dans la cellule et sa transformation en acide lactique, limitant ainsi le développement des tumeurs cancéreuses.

LE GARCINIA CAMBOGIA est un arbuste cultivé dans le sud-est asiatique et dont l’extrait sec de l’écorce du fruit contient 60% d’HCA. L’HCA inhibe une enzyme favorisant la croissance des tumeurs.

Pour être efficace, la prise d’acide alpha lipoïque doit s’accompagner de celle d’hydroxycitrate car, prise isolément, ces molécules ont peu d’efficacité.

Les conseils d’utilisation sont de 800 mg d’acide alpha lipoïque matin et soir et de 500 mg d’hydroxycitrate matin, midi et soir, soit 2 comprimés matin et soir d’ACIDE R ALPHA LIPOIQUE et 2 comprimés  matin, midi et soir de GARCINIA.

ND

les probiotiques naturels et indispensables pour une nutrition optimale

les probiotiques naturels et indispensables pour une nutrition optimale

Les probiotiques sont des bactéries amies qui ont une action favorable sur notre santé.  Ils servent  à rétablir l’équilibre de la flore intestinale ; ils contribuent au bon fonctionnement du cœur et ont un impact important sur notre cerveau. Les probiotiques, par ailleurs, peuvent participer à la diminution de la graisse abdominale.

La consommation de probiotiques naturels s’avère  plus qu’indispensable, car nous avons tendance à consommer beaucoup de sucres et de céréales raffinées. Ces produits comestibles  entrainant une perturbation de la flore microbienne de l’intestin risque de conduire à de sérieux problèmes de santé.

En plus de prendre des compléments alimentaires à base de probiotiques, comme Lactiphyt ou Flore Protect on peut également en consommer des aliments naturels qui contiennent ces  micro-organismes vivants (bactéries) :

La choucroute

Aliment traditionnel et populaire en France, la choucroute est un probiotique naturel très bénéfique pour les intestins. Riche en acide lactique, elle favorise la régénération des membranes intestinales, constitue un excellent diurétique et agit contre les parasites intestinaux.

La choucroute est aussi riche en vitamine A, C, B, E et K et contient de nombreux minéraux comme le potassium, le calcium, le phosphore, le fer, le zinc et le magnésium. De même, ses antioxydants sont excellents pour la santé oculaire. Pour bénéficier des bienfaits de la choucroute, il faut qu’elle soit la plus naturelle possible.

Les  boissons à base de champignons : exemple le Kombucha

Une boisson fermentée à partir de bactéries et de levures. D’origine Russe, on le prépare traditionnellement avec du thé vert ou du thé noir sucré. Riche en probiotique, le Kombucha est réputé pour soigner les problèmes de digestion et de nombreux autres maux (insomnie, arthrite, fatigue…).

Les olives

Les olives sont également des aliments lactofermentés. Voilà pourquoi elles contiennent des probiotiques.

Les microalgues

Il s’agit de plantes super-alimentaires présente dans les océans.  Ces probiotiques ont montré une augmentation de la quantité de bifidobactéries et de lactobacilles dans le tractus intestinal.

Les concombres

Il est prouver  que le concombre est un excellent aliment avec une contenance riche en probiotiques.

Les produits à base de soja comme le Tempeh

Un excellent substitut pour la viande, le tempeh est riche en probiotique et est fait à base de grains de soja. Riche en vitamine B12, cette nourriture végétarienne peut être sautée, cuite ou émiettée dans des salades. Si elle est préparée correctement, le tempeh est également faible en sel, le rendant un choix idéal pour ceux qui ont un régime alimentaire faible en sodium.

Le vinaigre de pomme :

Partout dans le monde, les bienfaits du vinaigre du cidre de pomme sont connus. Il est ainsi utilisé en cuisine, en cosmétique et même pour désinfecter.  La version brute, non filtrée et non pasteurisée du vinaigre de cidre est riche en probiotiques. Il améliore les troubles digestifs, favorise une peau saine et a des vertus anti-inflammatoires.

SG

SOULAGER LES DOULEURS AVEC LES AIMANTS

SOULAGER LES DOULEURS AVEC LES AIMANTS

Douleurs musculaires et articulaires (traumatismes, arthrite, arthrose, rhumatismes …), mal de dos, migraine … peuvent être soulagés par les aimants et présentent une alternative intéressante et sans effets secondaires aux anti-inflammatoires et antalgiques.

Comment ça marche ?

L’application d’aimants, ou magnétothérapie, date de l’Antiquité. Cette technique se base sur le fait que certaines maladies proviennent d’un déséquilibre des champs magnétiques du corps qui va dérégler son fonctionnement biologique.

En posant les aimants sur la zone douloureuse, la puissance magnétique active la circulation sanguine, le champ magnétique se diffuse dans le corps et interrompt le signal de la douleur entre un organe et le cerveau.

Comment les utiliser ?

Vous pouvez en mettre autant que vous le souhaitez, à condition de les utiliser par paire parce qu’ils sont constitués d’un pôle nord et d’un pôle sud, chaque pôle étant nécessaire pour créer un « pont » magnétique qui soulage la douleur.

Pour les appliquer, posez un pôle nord sur le point douloureux et un pôle sud juste en face de l’autre, environ à 5 ou 6 cm, et maintenez-les à l’aide d’un sparadrap. Il existe également, dans des boutiques spécialisées, des genouillères, protège poignets ou tibia, ceintures, qui contiennent directement des aimants.

Gardez-les au minimum 3 jours et bougez pour faire travailler les articulations et stimuler la circulation sanguine.

Comment les choisir et les entretenir ?

Les aimants sont disponibles en pharmacie, dans certains magasins bio et dans les boutiques spécialisées en magnétothérapie.

Leur efficacité dépend de leur qualité, c’est-à-dire de leur puissance, appelée rémanence. L’unité de mesure est le Gauss. Les meilleurs sont les aimants néodymes (12 200 Gauss), les moins puissants, les ferrites (3000 à 3500 Gauss).

Plus la zone de la douleur est étendue, plus il est conseillé d’utiliser de gros aimants (15 à 25 mm de diamètre) plutôt que d’en mettre plusieurs.

Vous pouvez garder vos aimants à vie, quelle que soit la fréquence d’utilisation, car leur qualité ne s’altère pas avec le temps.

Nettoyez-les avec de l’eau savonneuse et gardez-les dans un endroit sec, idéalement dans leur boîte d’origine.

ND

 

Allergies saisonnières : Il est temps de démarrer votre traitement naturel

Allergies saisonnières : Il est temps de démarrer votre traitement naturel

La réaction allergique correspond à une réponse anormale et excessive du système immunitaire envers des substances normalement inoffensives pour l’organisme, que l’on respire, avale ou touche. Cette réaction résulte d’un contact avec une substance étrangère à l’organisme, appelée allergène, considérée à tort comme dangereuse pour nos cellules. L’organisme va alors fabriquer trop d’anticorps, les immunoglobulines IgE , responsables du déclenchement des réactions d’hypersensibilité.

Les facteurs les plus courants sont : les aliments, les acariens, les animaux, le pollen, les moisissures, le latex.

Les manifestations allergiques regroupent principalement : eczéma, urticaire, rhinite allergique, asthme, conjonctivite, œdème de Quincke, réactions aux venins après piqûre d’insectes (guêpe, abeille …).

Les allergies saisonnières

Le nombre de cas d’allergies saisonnières a augmenté de façon considérable durant ces 20 dernières années. Aujourd’hui, près d’un Français sur 5 est touché et notamment, les jeunes et les enfants. De plus, en raison du réchauffement climatique, la période de pollinisation s’est allongée et s’étend maintenant de janvier à octobre, d’où le nombre croissant de personnes allergiques dans le Monde.

Avec l’arrivée du printemps, la concentration de pollens dans l’air que nous respirons augmente et provoque des crises d’allergie chez les personnes sensibles qui se traduisent par des phénomènes de nez qui coule, éternuements à répétition, maux de gorge, conjonctivite, paupières gonflées, yeux qui grattent, démangeaisons…

L’aggravation subite de ces symptômes peut entraîner une inflammation  des voies respiratoires d’où des difficultés à respirer, une toux ou des sifflements et peut évoluer vers une forme d’asthme.

Les symptômes persisteront aussi longtemps que durera l’exposition à l’allergène, d’où la nécessité d’identifier l’allergène responsable et de s’en écarter. Le pollen se glisse facilement dans les cheveux, les poils et les vêtements. Il est donc nécessaire de se doucher et de changer de vêtements très fréquemment, de se laver les mains 3 à 4 fois par jour pour éviter de déposer du pollen près de vos yeux ou de votre nez. En période de pollinisation, aérez votre chambre tard le soir, faites sécher vos draps à l’intérieur plutôt qu’en extérieur, évitez d’ouvrir vos fenêtres en journée.

Solutions naturelles pour traiter l’allergie

Si la suppression de l’exposition à l’allergène est nécessaire pour éviter la récidive de la réaction allergique, un apport en compléments naturels peut aider à calmer les symptômes.

la quercétine est un pigment végétal naturel aux propriétés antihistaminiques et anti-inflammatoires. Particulièrement présente dans les câpres et la livèche, elle se révèle très efficace pour diminuer les réactions allergiques.

le cassis stimule les défenses naturelles de l’organisme et exerce une action anti-allergique.

le frêne possède des propriétés diurétiques et anti-inflammatoires d’où son intérêt dans la prise en charge des phénomènes allergiques.

le cumin noir contient un principe actif qui augmente les défenses immunitaires et exerce une action contre l’asthme et les allergies (pollen, poussières) en stabilisant la production des IgE responsables du déclenchement des réactions d’hypersensibilité.

la vitamine C stimule les défenses de l’organisme. Elle atténue les effets allergènes sur notre système immunitaire. De plus, l’association avec de la quercétine potentialise l’action de la vitamine C dans l’organisme en augmentant son absorption et en retardant son élimination : elles se protègent et se régénèrent ainsi mutuellement.

Pourquoi vous devez absolument adopter le saut à la corde !

Pourquoi vous devez absolument adopter le saut à la corde !

Si le saut à la corde nous rappelle notre enfance, c’est avant tout un formidable atout santé dont la pratique présente de nombreux avantages.

Le saut à la corde est l’un des exercices cardiovasculaires les plus complets que l’on puisse pratiquer. Encore plus demandeur d’énergie que la natation, le ski de fond, le vélo ou encore la course à pied, le  saut à la corde  permet le renforcement, la coordination et la stimulation de nombreux muscles.

Selon un recueil d’études de physiques, le saut à la corde pratiqué pendant 10 minutes peut brûler autant de calories qu’un jogging à un rythme de 10km/h .

Peu d’exercices sont aussi complets, et pour cause son utilité est énorme. Lors de la phase extensive, tout le corps est sous tension.  Le saut à la corde  en améliorant la posture, et l’équilibre, renforce également la tonification des muscles des mollets et l’agilité, notamment au niveau des membres inférieurs, de l’organisme. En effet, le réseau veineux des jambes est énormément sollicité lors de la pratique de l’exercice, cela permet de fuseler  les jambes et de galber les fesses. De quoi entretenir sa santé et son apparence.

Le saut à la corde améliore aussi la densité minérale osseuse et la puissance globale du corps.

Il permet  au corps d’utiliser de l’oxygène de façon efficace, pour qu’il apporte tous ses bienfaits à l’appareil respiratoire, aux vaisseaux sanguins en passant par le cœur.

La coordination nécessaire pour sauter à la corde permettrait de créer de nouvelles connexions neuronales.  Les endorphines libérées lors de la séance favorisent la relaxation tout en diminuant le stress et l’angoisse.

muscles-saut-corde

Economique et peu encombrante, vous pouvez emporter votre corde à sauter n’importe où et l’utiliser indoor ou outdoor.

Peut-on pratiquer le saut à la corde à tout âge ?

Bien sûr, c’est un sport qui peut être pratiqué par des personnes âgées de 50 ans, 60 ans voire même de 70 ans à la condition d’y aller à son rythme, même très lentement, d’avoir encore un minimum d’équilibre et de condition physique, et de faire attention à ne pas tomber.

Consigne pour les débutants

Pour pratiquer cet exercice il faut commencer doucement : 5 minutes par jour 3 fois par semaine pas plus pendant un mois pour éviter les risques de courbature. Et progressivement vous pouvez augmenter, pour atteindre 20 à 30 minutes par séance pour ne négliger aucun groupe musculaire. Parlez en à votre médecin avant de débuter n’importe quel sport, il sera de bon conseil.