Les bienfaits des graines germées

Les bienfaits des graines germées

Les graines germées sont des plantes comestibles que l’on fait germer sans les planter pour les consommer.

Leur richesse nutritionnelle en font un atout de choix pour notre santé.

Avec un peu de technique et un faible investissement, vous pouvez produire vos propres graines pour votre propre consommation.

Petit tour d’horizon de ce trésor de bienfaits.

Les graines à germer

Presque toutes les graines peuvent être consommées germées. Elles appartiennent à plusieurs familles différentes :

les légumineuses : luzerne, fenugrec, haricot mungo, lentille, pois chiche,

les céréales : avoine, blé, maïs, millet, orge, sarrasin, quinoa, riz,

les oléagineux : sésame, tournesol, fruits oléagineux (noix, noisette, amande),

les légumes : brocoli, carotte, céleri, choux, épinard, fenouil, navet, oignon, poireau, persil, radis,

les mucilagineux : cresson, lin, roquette, moutarde.

Cependant, certaines ne sont pas consommables et même toxiques : tomate, aubergine, rhubarbe.

Intérêt nutritionnel

Les graines germées sont des concentrés de nutriments : vitamines, minéraux, oligo-éléments, acides aminés, enzymes, acides gras essentiels, protéines.

Elles en contiennent beaucoup plus que la graine sèche et sont plus digestes, mieux assimilables et plus concentrées en nutriments que les légumes.

La germination multiplie la richesse nutritionnelle de la graine sans augmenter pour autant son apport calorique.

A titre d’exemple, la graine germée de blé contient environ 6 fois plus de vitamine C et 3 fois plus de vitamine A qu’un grain de blé.

Les graines germées apportent également des fibres d’où leur intérêt pour réguler le transit et la digestion.

Elles peuvent se consommer nature, en salade, en tartine et sandwich, incorporées aux omelettes, aux gratins, ajoutées dans les soupes ou les purées de légumes.

Comment les faire germer chez soi

Vous pouvez acheter directement des graines germées prêtes à l’emploi en sachet, dans les magasins bio et dans certains supermarchés au rayon bio.

Vous pouvez également vous procurer des graines à faire germer vous-même dans un germoir ou, à défaut, dans un bocal recouvert d’une gaze, dans une passoire, sur une assiette garnie de coton humide ou encore dans un sac en tissu aéré (lin, tulle, voile …) que l’on trempera 2 fois par jour pour l’humidifier. Procurez-vous de préférence des graines bio pour éviter toutes traces de pesticides.

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Comment protéger naturellement notre système intestinal ?

Comment protéger naturellement notre système intestinal ?

Notre muqueuse intestinale est garante du bon équilibre digestif et de notre bonne santé. Elle représente une importante barrière physique et immunologique entre le milieu intérieur de notre organisme et les facteurs dangereux de l’environnement.

Cette muqueuse n’est pas parfaitement étanche de façon à laisser passer, à travers les jonctions serrées, les nutriments indispensables au bon fonctionnement de notre corps.
Or, lorsque les jonctions serrées n’assurent plus l’intégrité de la muqueuse intestinale, l’intestin devient une véritable passoire qui  va laisser passer un grand nombre de substances éliminées en temps normal : fragments d’aliments incomplètement dégradés, toxines bactériennes, champignons (candida) … On parle alors d’hyperperméabilité intestinale.  S’ensuivent de nombreuses pathologies telles des intolérances, allergies alimentaires, des réactions inflammatoires, une baisse de l’immunité, une fatigue chronique.
Des solutions naturelles existent pour préserver l’intégrité de la muqueuse  intestinale, stimuler l’immunité et réduire l’inflammation.
La glutamine : Naturellement     présente dans la viande, le poisson et les œufs, la glutamine est un acide aminé essentiel à la restauration de l’intégrité de la muqueuse intestinale. Elle diminue la perméabilité intestinale et stimule les fonctions immunitaires.
Le Curcuma : Cette plante contient un principe actif, la curcumine, puissant anti-inflammatoire et antioxydant, qui permet de lutter contre les composés toxiques et réduire l’inflammation.
La Chlorophylle : Pigment photosynthétique présent dans les plantes, la Chlorophylle est un puissant régulateur de la fermentation intestinale. Elle réduit la production des toxines, protège des candidoses et permet d’accélérer la cicatrisation de la muqueuse intestinale.
Les probiotiques : Les bactéries lactiques exercent un effet barrière vis-à-vis des bactéries pathogènes, inactivent les substances toxiques, stimulent le système immunitaire en augmentant l’activité des cellules impliquées dans l’immunité.
Le MSM (méthylsulfonylméthane) : Le MSM est du Soufre organique naturel présent dans les légumes frais, les fruits, le lait de vache frais, le poisson et les fruits de mer. Il permet de neutraliser et d’éliminer certaines toxines de l’organisme, certains métaux lourds. Le MSM est également un anti-allergique naturel et un anti-inflammatoire, d’où son intérêt dans la prise en charge de l’hyperperméabilité intestinale.
La lactoferrine : Glycoprotéine naturellement présente dans le lait de vache comme dans celui de la femme, la lactoferrine permet une augmentation des bonnes bactéries et une diminution des mauvaises bactéries, stimule le système immunitaire et est particulièrement active sur les maladies inflammatoires de l’intestin.

Vite, de la Vitamine D !

Vite, de la Vitamine D !

Voici 13 cas dans lesquels des études ont prouvé qu’il fallait se supplémenter en Vitamine D

1 – La vitamine D booste l’immunité

La vitamine D joue un rôle essentiel pour activer l’immunité, éviter les rhumes et la grippe et en diminuer la durée.

Elle accroît l’activité des macrophages (ces globules blancs qui « digèrent » les bactéries) et favorise la production de peptides anti-infectieux et de cytokines anti-inflammatoires.

2 – La carence en vitamine D triple le risque cardiovasculaire

Elle joue un rôle vital chez les sujets âgés en réduisant le risque de décès, notamment par maladies cardiovasculaires.

3 – La carence en vitamine D favorise la sclérose en plaques

Pour la première fois, une étude à large échelle établit un lien entre le taux sanguin de vitamine D et le risque de sclérose en plaques. Cette étude a été menée au sein de l’armée américaine sur 257 membres du personnel.

Au total, les sujets dont les taux sériques se situaient dans la partie supérieure avaient un risque de développer une sclérose en plaques inférieur à 62 % . L’apport de vitamine D ou l’exposition aux rayons solaires (UVB) retarde ou empêche l’expression de la maladie sur des modèles animaux de sclérose en plaques (SEP).

La sclérose en plaques, mais également d’autres maladies auto-immunes comme le diabète de type 1 ou la polyarthrite rhumatoïde sont plus fréquentes dans les pays éloignés de l’équateur et dans les groupes de personnes avec des apports en vitamine D faibles, surtout avant l’âge de 20 ans.

4 – Vitamine D et cancers

Y a-t-il un lien entre le statut en vitamine D et le cancer du sein ? Afin de répondre à cette question, une équipe canadienne a étudié un groupe de 500 femmes porteuses d’une tumeur mammaire, qu’ils ont suivi sur plusieurs années.

Première surprise : au moment du diagnostic, plus d’un tiers des femmes incluses présentait une déficience en vitamine D, près de 40 % une insuffisance en vitamine D et 25 % seulement avaient un taux normal.

Seconde surprise : les femmes déficientes en vitamine D ont rechuté quasiment deux fois plus tôt que celles ayant un taux de vitamine D normal, et leur survie globale était réduite de 73 %.

Une autre étude  montre que le risque de cancer du sein serait diminué de 25 % pour les femmes ayant un taux sanguin de vitamine D élevé.

Une étude prospective sur 18 ans chez près de 15 000 hommes confirme qu’un taux suffisant de vitamine D est protecteur contre le cancer de la prostate. Les hommes ayant un récepteur de la vitamine D peu actif seraient plus à risque de présenter ce cancer s’ils sont, en plus, carencés.

Des taux bas sont également liés à une augmentation de la mortalité toutes causes confondues (+ 57 %) et de la mortalité cardiovasculaire (+ 41 %), selon une méta-analyse parue en juin 2014 dans le célèbre British Medical Journal (BMJ).

5 – Vitamine D et troubles cognitifs

Un travail britannique conduit chez les hommes de 40 à 79 ans montre que ceux qui ont de faibles taux de vitamine D échouent davantage à certains tests des fonctions cognitives. Des travaux complémentaires sont nécessaires pour voir si une supplémentation en vitamine D permet de préserver les fonctions cognitives .

Une étude réalisée sur 382 personnes d’âge moyen de 75 ans et publiée dans le non moins respecté Journal of Internal Medicine (JAMA), en septembre 2015, démontre également que la vitamine D protège d’un déclin cognitif rapide.

 

6 – Vitamine D : un puissant antiviral !

Les infections rhinopharyngées sont connues pour se transmettre très volontiers lors des rassemblements humains. Mais pourquoi avec prédilection en automne-hiver ? Un élément de réponse est proposé par une équipe américaine : ces médecins ont eu l’idée de rechercher un lien entre le taux sanguin de vitamine D, en automne-hiver, et le risque respiratoire. Une étude en double-aveugle a été menée auprès de 198 adultes sains au cours des saisons froides 2009-2010. La corrélation se fait d’elle-même. Sur les 18 participants dont le taux de vitamine D s’est maintenu dans la fourchette haute, le taux d’infection virale a été de 3 cas. Chez les 180 autres, 45 % ont été atteints. Cerise sur le gâteau, les taux les plus élevés étaient associés à une affection plus courte .

7 – Les apports en vitamine D au secours de nombreuses souffrances

Dans une étude norvégienne réalisée sur plus de 500 patients, les auteurs notent une corrélation entre un taux sérique bas de vitamine D et des maux de tête.

Une autre étude sur plus de 3000 hommes trouve des corrélations avec les douleurs chroniques.

Une étude chez les diabétiques révèle que la correction de la carence en vitamine D permet de réduire l’intensité des douleurs neuropathiques.

Une étude prospective sur plus de 290 femmes traitées par les médicaments antihormonaux dits « anti-aromatase » à la suite d’un cancer du sein, indique qu’une supplémentation corrigeant la carence a un effet antalgique.

8 – La vitamine D prévient le risque de chute chez les personnes âgées

La vitamine D ayant une action directe sur la force musculaire du fait de la présence de récepteurs spécifiques au niveau du muscle, il était logique d’évaluer son effet sur la prévention des chutes chez la personne âgée. Une étude américano-helvétique montre qu’aux doses de 700 à 1000 UI/j, elle réduit de 19 % le risque de chute.

9 – Cardiopathies sévères et déficience en vitamine D

D’après la présentation effectuée lors de la 63e édition du congrès scientifique annuel de l’American College of Cardiology, la carence en vitamine D constitue un facteur de risque indépendant de cardiopathie : des faibles taux de vitamine D étant associés à une occurrence accrue de coronaropathie plus sévère. Dans cette étude, la plus vaste du genre, visant à évaluer la relation entre le taux de vitamine D et la coronaropathie, des chercheurs italiens ont constaté une carence en vitamine D (< 20 ng/ml) chez 70,4 % des patients (N = 1484) soumis à une coronarographie .

10 – Une méta analyse confirme la corrélation entre taux faibles de vitamine D et états dépressifs

En conséquence, il semble bien que l’on puisse conseiller d’optimiser ses statuts en vitamine D dans le cadre de risques de dépression et en plus des traitements classiques de la dépression.

11 – Vitamine D et hypertension artérielle

Une équipe internationale a publié dans la prestigieuse revue Lancet, une méta-analyse prenant en compte plus de 100 000 sujets : même en tenant compte des facteurs génétiques, le taux de vitamine D a un impact réel sur l’hypertension artérielle et plus spécifiquement la systolique (le chiffre du haut).

12 – Les carences en vitamine D suspectées d’augmenter l’asthme

Une étude a démontré que les crises d’asthme étaient liées à une carence en vitamine D.
Pour parvenir à cette conclusion, ces scientifiques de l’université de Tel Aviv se sont appuyés sur les données d’un groupe de près de 308 000 Israéliens âgés de 22 à 50 ans. Leurs taux de vitamine D ont été mesurés durant 4 ans (entre 2008 et 2012).
« Statistiquement, il ressort que le risque de crise d’asthme chez les malades présentant une carence en vitamine D est de 25 % plus élevé que chez les autres », affirme le Dr Confino-Cohen, allergologue et principal auteur de l’étude. Mais pour lui, ce sont les rayons du soleil qui permettraient de réguler les réponses immunitaires, entravant ainsi l’emprise de l’asthme.

En conclusion, les auteurs de l’étude recommandent aux personnes souffrant d’asthme de faire mesurer leurs taux de vitamine D, et en cas de carence, de prendre des compléments. S’exposer de manière modérée au soleil pourrait réduire les épisodes graves d’asthme.

13 – Lutter contre la puberté précoce

La puberté précoce est un nouveau problème de santé que l’on voit apparaître et qui serait liée à l’usage des pesticides. Une étude récente [15] montrerait que l’administration de vitamine D soit un des éléments susceptibles de contribuer à normaliser ce problème.

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S’endormir en une minute avec la méthode 4 – 7 – 8

S’endormir en une minute avec la méthode 4 – 7 – 8

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Il y a ceux qui ont la chance de pouvoir s’endormir sitôt la tête posée sur l’oreiller … et ceux qui tournent, se retournent, cherchent la bonne position avant de trouver le sommeil, malgré la fatigue.

Avez-vous déjà essayé cette méthode de respiration inspirée des préceptes du yoga, baptisée méthode  4 – 7 – 8 et  qui permettrait de vous endormir en 1 minute ? Voici comment l’appliquer:

Préparation

Tout d’abord, éliminez tout ce qui peut empêcher le sommeil (lumière, bruit, télévision, téléphone, tablette …).

Si vous ne pouvez pas vous allonger, restez assis, le dos bien droit, les pieds appuyés au sol et non pas les jambes croisées.

Placez le bout de votre langue contre votre palais, juste derrière les incisives, et restez dans cette position pendant toute la durée de l’exercice.

Application

  • Commencez par vider entièrement l’air de vos poumons.
  • Inspirez profondément par le nez en comptant lentement jusqu’à 4.
  • Retenez votre respiration en comptant jusqu’à 7.
  • Expirez bruyamment par la bouche en comptant jusqu’à 8.
  • Recommencez l’exercice 3 fois.

Cette stratégie simple et efficace dans la majorité des cas peut ne pas réussir du 1er coup. Elle requiert un minimum d’exercice et de concentration. Pour ceux qui ne parviendraient toujours pas à s’endormir, N’hésitez pas à renforcer cette méthode avec du DORMISPRAY .

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