SOULAGER LES DOULEURS AVEC LES AIMANTS

SOULAGER LES DOULEURS AVEC LES AIMANTS

Douleurs musculaires et articulaires (traumatismes, arthrite, arthrose, rhumatismes …), mal de dos, migraine … peuvent être soulagés par les aimants et présentent une alternative intéressante et sans effets secondaires aux anti-inflammatoires et antalgiques.

Comment ça marche ?

L’application d’aimants, ou magnétothérapie, date de l’Antiquité. Cette technique se base sur le fait que certaines maladies proviennent d’un déséquilibre des champs magnétiques du corps qui va dérégler son fonctionnement biologique.

En posant les aimants sur la zone douloureuse, la puissance magnétique active la circulation sanguine, le champ magnétique se diffuse dans le corps et interrompt le signal de la douleur entre un organe et le cerveau.

Comment les utiliser ?

Vous pouvez en mettre autant que vous le souhaitez, à condition de les utiliser par paire parce qu’ils sont constitués d’un pôle nord et d’un pôle sud, chaque pôle étant nécessaire pour créer un « pont » magnétique qui soulage la douleur.

Pour les appliquer, posez un pôle nord sur le point douloureux et un pôle sud juste en face de l’autre, environ à 5 ou 6 cm, et maintenez-les à l’aide d’un sparadrap. Il existe également, dans des boutiques spécialisées, des genouillères, protège poignets ou tibia, ceintures, qui contiennent directement des aimants.

Gardez-les au minimum 3 jours et bougez pour faire travailler les articulations et stimuler la circulation sanguine.

Comment les choisir et les entretenir ?

Les aimants sont disponibles en pharmacie, dans certains magasins bio et dans les boutiques spécialisées en magnétothérapie.

Leur efficacité dépend de leur qualité, c’est-à-dire de leur puissance, appelée rémanence. L’unité de mesure est le Gauss. Les meilleurs sont les aimants néodymes (12 200 Gauss), les moins puissants, les ferrites (3000 à 3500 Gauss).

Plus la zone de la douleur est étendue, plus il est conseillé d’utiliser de gros aimants (15 à 25 mm de diamètre) plutôt que d’en mettre plusieurs.

Vous pouvez garder vos aimants à vie, quelle que soit la fréquence d’utilisation, car leur qualité ne s’altère pas avec le temps.

Nettoyez-les avec de l’eau savonneuse et gardez-les dans un endroit sec, idéalement dans leur boîte d’origine.

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Allergies saisonnières : Il est temps de démarrer votre traitement naturel

Allergies saisonnières : Il est temps de démarrer votre traitement naturel

La réaction allergique correspond à une réponse anormale et excessive du système immunitaire envers des substances normalement inoffensives pour l’organisme, que l’on respire, avale ou touche. Cette réaction résulte d’un contact avec une substance étrangère à l’organisme, appelée allergène, considérée à tort comme dangereuse pour nos cellules. L’organisme va alors fabriquer trop d’anticorps, les immunoglobulines IgE , responsables du déclenchement des réactions d’hypersensibilité.

Les facteurs les plus courants sont : les aliments, les acariens, les animaux, le pollen, les moisissures, le latex.

Les manifestations allergiques regroupent principalement : eczéma, urticaire, rhinite allergique, asthme, conjonctivite, œdème de Quincke, réactions aux venins après piqûre d’insectes (guêpe, abeille …).

Les allergies saisonnières

Le nombre de cas d’allergies saisonnières a augmenté de façon considérable durant ces 20 dernières années. Aujourd’hui, près d’un Français sur 5 est touché et notamment, les jeunes et les enfants. De plus, en raison du réchauffement climatique, la période de pollinisation s’est allongée et s’étend maintenant de janvier à octobre, d’où le nombre croissant de personnes allergiques dans le Monde.

Avec l’arrivée du printemps, la concentration de pollens dans l’air que nous respirons augmente et provoque des crises d’allergie chez les personnes sensibles qui se traduisent par des phénomènes de nez qui coule, éternuements à répétition, maux de gorge, conjonctivite, paupières gonflées, yeux qui grattent, démangeaisons…

L’aggravation subite de ces symptômes peut entraîner une inflammation  des voies respiratoires d’où des difficultés à respirer, une toux ou des sifflements et peut évoluer vers une forme d’asthme.

Les symptômes persisteront aussi longtemps que durera l’exposition à l’allergène, d’où la nécessité d’identifier l’allergène responsable et de s’en écarter. Le pollen se glisse facilement dans les cheveux, les poils et les vêtements. Il est donc nécessaire de se doucher et de changer de vêtements très fréquemment, de se laver les mains 3 à 4 fois par jour pour éviter de déposer du pollen près de vos yeux ou de votre nez. En période de pollinisation, aérez votre chambre tard le soir, faites sécher vos draps à l’intérieur plutôt qu’en extérieur, évitez d’ouvrir vos fenêtres en journée.

Solutions naturelles pour traiter l’allergie

Si la suppression de l’exposition à l’allergène est nécessaire pour éviter la récidive de la réaction allergique, un apport en compléments naturels peut aider à calmer les symptômes.

la quercétine est un pigment végétal naturel aux propriétés antihistaminiques et anti-inflammatoires. Particulièrement présente dans les câpres et la livèche, elle se révèle très efficace pour diminuer les réactions allergiques.

le cassis stimule les défenses naturelles de l’organisme et exerce une action anti-allergique.

le frêne possède des propriétés diurétiques et anti-inflammatoires d’où son intérêt dans la prise en charge des phénomènes allergiques.

le cumin noir contient un principe actif qui augmente les défenses immunitaires et exerce une action contre l’asthme et les allergies (pollen, poussières) en stabilisant la production des IgE responsables du déclenchement des réactions d’hypersensibilité.

la vitamine C stimule les défenses de l’organisme. Elle atténue les effets allergènes sur notre système immunitaire. De plus, l’association avec de la quercétine potentialise l’action de la vitamine C dans l’organisme en augmentant son absorption et en retardant son élimination : elles se protègent et se régénèrent ainsi mutuellement.

Pourquoi vous devez absolument adopter le saut à la corde !

Pourquoi vous devez absolument adopter le saut à la corde !

Si le saut à la corde nous rappelle notre enfance, c’est avant tout un formidable atout santé dont la pratique présente de nombreux avantages.

Le saut à la corde est l’un des exercices cardiovasculaires les plus complets que l’on puisse pratiquer. Encore plus demandeur d’énergie que la natation, le ski de fond, le vélo ou encore la course à pied, le  saut à la corde  permet le renforcement, la coordination et la stimulation de nombreux muscles.

Selon un recueil d’études de physiques, le saut à la corde pratiqué pendant 10 minutes peut brûler autant de calories qu’un jogging à un rythme de 10km/h .

Peu d’exercices sont aussi complets, et pour cause son utilité est énorme. Lors de la phase extensive, tout le corps est sous tension.  Le saut à la corde  en améliorant la posture, et l’équilibre, renforce également la tonification des muscles des mollets et l’agilité, notamment au niveau des membres inférieurs, de l’organisme. En effet, le réseau veineux des jambes est énormément sollicité lors de la pratique de l’exercice, cela permet de fuseler  les jambes et de galber les fesses. De quoi entretenir sa santé et son apparence.

Le saut à la corde améliore aussi la densité minérale osseuse et la puissance globale du corps.

Il permet  au corps d’utiliser de l’oxygène de façon efficace, pour qu’il apporte tous ses bienfaits à l’appareil respiratoire, aux vaisseaux sanguins en passant par le cœur.

La coordination nécessaire pour sauter à la corde permettrait de créer de nouvelles connexions neuronales.  Les endorphines libérées lors de la séance favorisent la relaxation tout en diminuant le stress et l’angoisse.

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Economique et peu encombrante, vous pouvez emporter votre corde à sauter n’importe où et l’utiliser indoor ou outdoor.

Peut-on pratiquer le saut à la corde à tout âge ?

Bien sûr, c’est un sport qui peut être pratiqué par des personnes âgées de 50 ans, 60 ans voire même de 70 ans à la condition d’y aller à son rythme, même très lentement, d’avoir encore un minimum d’équilibre et de condition physique, et de faire attention à ne pas tomber.

Consigne pour les débutants

Pour pratiquer cet exercice il faut commencer doucement : 5 minutes par jour 3 fois par semaine pas plus pendant un mois pour éviter les risques de courbature. Et progressivement vous pouvez augmenter, pour atteindre 20 à 30 minutes par séance pour ne négliger aucun groupe musculaire. Parlez en à votre médecin avant de débuter n’importe quel sport, il sera de bon conseil.