Les troubles du système génito-urinaire sont très répandus et touchent aussi bien les femmes que les hommes. Outre la gène physique qu’ils entraînent, ils peuvent aussi altérer sévèrement l’équilibre émotionnel, la vie sexuelle, la continence, l’autonomie et la qualité de vie.
Chez l’homme, l’hypertrophie bénigne de la prostate (HBP) se caractérise par une augmentation du volume de la prostate. Elle débute progressivement à partir de 30 ans mais ne s’exprime en général qu’à partir de 40 ans (18% des hommes) pour augmenter en fréquence avec l’âge (plus de 50% des hommes de plus de 70 ans). En France, plus de 6 millions d’hommes sont concernés par l’HBP.
Les principaux symptômes sont : des envies fréquentes, notamment la nuit, pressantes ou alors des difficultés à uriner, de l’incontinence et des irritations. Cependant, les hommes sont peu conscients de la fonction et des troubles de la prostate et ne mesurent pas l’importance d’un dépistage précoce. Ils associent bien souvent ces troubles à une perte de virilité, sont inquiets des conséquences des traitements et ne réagissent qu’à l’apparition des premiers symptômes. Les femmes, quant à elles, sont très souvent concernées par les cystites. En France, une femme sur deux présenterait une cystite aigüe dans sa vie et 50% feraient des cystites récidivantes. Le pic est atteint entre 20 et 30 ans. Principalement due à la bactérie Escherichia coli (80% des cas), cette infection peut provoquer des douleurs mictionnelles (brûlures), pelviennes ou suspubiennes, des urines troubles et malodorantes. La sécheresse vaginale apparaît au moment de la ménopause et affecterait une femme sur deux. Elle est provoquée par une réduction des niveaux d’oestrogènes et d’androgènes, entraînant un amincissement des parois vaginales, une perte d’élasticité des muqueuses et une altération de la lubrification. Ce syndrome encore mal compris et très peu considéré se caractérise par une sensation d’irritation vaginale, une démangeaison, une sensation de brûlure, autant de symptômes qui affectent la qualité de vie, l’estime de soi et l’intimité des relations au sein du couple.
Des actifs naturels ciblés peuvent apporter une réponse favorable à ces troubles en améliorant le confort des femmes et des hommes concernés :
Le Palmier nain : utilisé depuis 20 ans par les Européens pour soulager les symptômes de l’HBP, le Palmier nain permet la réduction du taux d’une hormone responsable du grossissement de la prostate, exerce un effet anti-inflammatoire et intervient dans le bon équilibre oestrogène/ testostérone, sans effets secondaires indésirables et sans nuire à la fonction érectile.
Les graines de Courge : permettent de traiter les irritations de la vessie et les troubles urinaires associés à l’HBP.
La Grenade : agit sur la décongestion de la prostate grâce à sa puissante action anti-inflammatoire et antioxydante.
La Cranberry : est le fruit qui contient la plus forte teneur en proanthocyanidines (PACs) spécifiques reconnus pour diminuer la fixation de certaines bactéries E.coli sur les parois des voies urinaires et donc freiner la fréquence des infections
urinaires.
Les queues de Cerises : renferment des principes actifs particulièrement dépuratifs et diurétiques qui permettent de purifier et nettoyer l’organisme, éliminer les toxines, favoriser l’élimination rénale et combattre les inflammations dues aux infections des voies urinaires.
Les lactobacilles : constituent l’espèce dominant la microflore vaginale. Ils interviennent dans la prévention des infections urinaires et vaginales. Leur administration représente aussi un complément important des antibiothérapies de longues durées prescrites lors d’épisodes infectieux répétitifs.
Les huiles de Bourrache et d’Onagre : contiennent de l’acide gamma-linolénique (GLA), un acide gras de type oméga 6, favorisant l’hydratation des muqueuses. Leur action anti-inflammatoire apaise les muqueuses irritées.