Voici 13 cas dans lesquels des études ont prouvé qu’il fallait se supplémenter en Vitamine D

1 – La vitamine D booste l’immunité

La vitamine D joue un rôle essentiel pour activer l’immunité, éviter les rhumes et la grippe et en diminuer la durée.

Elle accroît l’activité des macrophages (ces globules blancs qui « digèrent » les bactéries) et favorise la production de peptides anti-infectieux et de cytokines anti-inflammatoires.

2 – La carence en vitamine D triple le risque cardiovasculaire

Elle joue un rôle vital chez les sujets âgés en réduisant le risque de décès, notamment par maladies cardiovasculaires.

3 – La carence en vitamine D favorise la sclérose en plaques

Pour la première fois, une étude à large échelle établit un lien entre le taux sanguin de vitamine D et le risque de sclérose en plaques. Cette étude a été menée au sein de l’armée américaine sur 257 membres du personnel.

Au total, les sujets dont les taux sériques se situaient dans la partie supérieure avaient un risque de développer une sclérose en plaques inférieur à 62 % . L’apport de vitamine D ou l’exposition aux rayons solaires (UVB) retarde ou empêche l’expression de la maladie sur des modèles animaux de sclérose en plaques (SEP).

La sclérose en plaques, mais également d’autres maladies auto-immunes comme le diabète de type 1 ou la polyarthrite rhumatoïde sont plus fréquentes dans les pays éloignés de l’équateur et dans les groupes de personnes avec des apports en vitamine D faibles, surtout avant l’âge de 20 ans.

4 – Vitamine D et cancers

Y a-t-il un lien entre le statut en vitamine D et le cancer du sein ? Afin de répondre à cette question, une équipe canadienne a étudié un groupe de 500 femmes porteuses d’une tumeur mammaire, qu’ils ont suivi sur plusieurs années.

Première surprise : au moment du diagnostic, plus d’un tiers des femmes incluses présentait une déficience en vitamine D, près de 40 % une insuffisance en vitamine D et 25 % seulement avaient un taux normal.

Seconde surprise : les femmes déficientes en vitamine D ont rechuté quasiment deux fois plus tôt que celles ayant un taux de vitamine D normal, et leur survie globale était réduite de 73 %.

Une autre étude  montre que le risque de cancer du sein serait diminué de 25 % pour les femmes ayant un taux sanguin de vitamine D élevé.

Une étude prospective sur 18 ans chez près de 15 000 hommes confirme qu’un taux suffisant de vitamine D est protecteur contre le cancer de la prostate. Les hommes ayant un récepteur de la vitamine D peu actif seraient plus à risque de présenter ce cancer s’ils sont, en plus, carencés.

Des taux bas sont également liés à une augmentation de la mortalité toutes causes confondues (+ 57 %) et de la mortalité cardiovasculaire (+ 41 %), selon une méta-analyse parue en juin 2014 dans le célèbre British Medical Journal (BMJ).

5 – Vitamine D et troubles cognitifs

Un travail britannique conduit chez les hommes de 40 à 79 ans montre que ceux qui ont de faibles taux de vitamine D échouent davantage à certains tests des fonctions cognitives. Des travaux complémentaires sont nécessaires pour voir si une supplémentation en vitamine D permet de préserver les fonctions cognitives .

Une étude réalisée sur 382 personnes d’âge moyen de 75 ans et publiée dans le non moins respecté Journal of Internal Medicine (JAMA), en septembre 2015, démontre également que la vitamine D protège d’un déclin cognitif rapide.

 

6 – Vitamine D : un puissant antiviral !

Les infections rhinopharyngées sont connues pour se transmettre très volontiers lors des rassemblements humains. Mais pourquoi avec prédilection en automne-hiver ? Un élément de réponse est proposé par une équipe américaine : ces médecins ont eu l’idée de rechercher un lien entre le taux sanguin de vitamine D, en automne-hiver, et le risque respiratoire. Une étude en double-aveugle a été menée auprès de 198 adultes sains au cours des saisons froides 2009-2010. La corrélation se fait d’elle-même. Sur les 18 participants dont le taux de vitamine D s’est maintenu dans la fourchette haute, le taux d’infection virale a été de 3 cas. Chez les 180 autres, 45 % ont été atteints. Cerise sur le gâteau, les taux les plus élevés étaient associés à une affection plus courte .

7 – Les apports en vitamine D au secours de nombreuses souffrances

Dans une étude norvégienne réalisée sur plus de 500 patients, les auteurs notent une corrélation entre un taux sérique bas de vitamine D et des maux de tête.

Une autre étude sur plus de 3000 hommes trouve des corrélations avec les douleurs chroniques.

Une étude chez les diabétiques révèle que la correction de la carence en vitamine D permet de réduire l’intensité des douleurs neuropathiques.

Une étude prospective sur plus de 290 femmes traitées par les médicaments antihormonaux dits « anti-aromatase » à la suite d’un cancer du sein, indique qu’une supplémentation corrigeant la carence a un effet antalgique.

8 – La vitamine D prévient le risque de chute chez les personnes âgées

La vitamine D ayant une action directe sur la force musculaire du fait de la présence de récepteurs spécifiques au niveau du muscle, il était logique d’évaluer son effet sur la prévention des chutes chez la personne âgée. Une étude américano-helvétique montre qu’aux doses de 700 à 1000 UI/j, elle réduit de 19 % le risque de chute.

9 – Cardiopathies sévères et déficience en vitamine D

D’après la présentation effectuée lors de la 63e édition du congrès scientifique annuel de l’American College of Cardiology, la carence en vitamine D constitue un facteur de risque indépendant de cardiopathie : des faibles taux de vitamine D étant associés à une occurrence accrue de coronaropathie plus sévère. Dans cette étude, la plus vaste du genre, visant à évaluer la relation entre le taux de vitamine D et la coronaropathie, des chercheurs italiens ont constaté une carence en vitamine D (< 20 ng/ml) chez 70,4 % des patients (N = 1484) soumis à une coronarographie .

10 – Une méta analyse confirme la corrélation entre taux faibles de vitamine D et états dépressifs

En conséquence, il semble bien que l’on puisse conseiller d’optimiser ses statuts en vitamine D dans le cadre de risques de dépression et en plus des traitements classiques de la dépression.

11 – Vitamine D et hypertension artérielle

Une équipe internationale a publié dans la prestigieuse revue Lancet, une méta-analyse prenant en compte plus de 100 000 sujets : même en tenant compte des facteurs génétiques, le taux de vitamine D a un impact réel sur l’hypertension artérielle et plus spécifiquement la systolique (le chiffre du haut).

12 – Les carences en vitamine D suspectées d’augmenter l’asthme

Une étude a démontré que les crises d’asthme étaient liées à une carence en vitamine D.
Pour parvenir à cette conclusion, ces scientifiques de l’université de Tel Aviv se sont appuyés sur les données d’un groupe de près de 308 000 Israéliens âgés de 22 à 50 ans. Leurs taux de vitamine D ont été mesurés durant 4 ans (entre 2008 et 2012).
« Statistiquement, il ressort que le risque de crise d’asthme chez les malades présentant une carence en vitamine D est de 25 % plus élevé que chez les autres », affirme le Dr Confino-Cohen, allergologue et principal auteur de l’étude. Mais pour lui, ce sont les rayons du soleil qui permettraient de réguler les réponses immunitaires, entravant ainsi l’emprise de l’asthme.

En conclusion, les auteurs de l’étude recommandent aux personnes souffrant d’asthme de faire mesurer leurs taux de vitamine D, et en cas de carence, de prendre des compléments. S’exposer de manière modérée au soleil pourrait réduire les épisodes graves d’asthme.

13 – Lutter contre la puberté précoce

La puberté précoce est un nouveau problème de santé que l’on voit apparaître et qui serait liée à l’usage des pesticides. Une étude récente [15] montrerait que l’administration de vitamine D soit un des éléments susceptibles de contribuer à normaliser ce problème.

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